Pas le temps d’être malade : la santé des femmes au taf
Ce mois-ci, tout le monde parle de seins. Mais parlons aussi de ventre qui contracte, de dos qui lâche, de têtes qui saturent. De corps qui bossent, alors qu’ils devraient se reposer.
Ce n’est pas une histoire de fragilité. C’est une histoire de système. De culture du déni. Et de femmes qu’on pousse à ignorer ce que leur corps hurle.
Et d’hommes qu’on empêche de dire qu’ils vont mal.
Alors stop. On n’est pas faibles. On est lucides. Et on a le droit de dire : “Là, j’ai mal. Et j’ai besoin de temps.”
Et si, pour une fois, on s’écoutait vraiment ?
Tout le monde gossip (oui, même ton boss)
On passe près d’une heure par jour à parler de collègues absents. Oui, une heure. Et non, ce n’est pas que pour “casser du sucre” : la majorité de ces échanges sont neutres, parfois positifs.
Dans les bureaux, le gossip n’est pas un simple bavardage futile. C’est une mécanique sociale qui crée du lien, transmet des règles implicites et protège parfois les salarié·es. Mais il peut aussi, quand il est mal dosé, miner la confiance, alimenter le stress et isoler des collègues.
Et contrairement aux clichés, les femmes ne gossipent pas plus que les hommes. Ce qui change, c’est la perception : un homme franc est vu comme stratégique, une femme franche comme bavarde.
Alors, faut-il bannir le gossip ? Impossible. Mieux vaut apprendre à en faire un outil utile, plutôt qu’une arme de division.
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